jeudi 7 août 2008

Le monde emmerde à soir

Pour Blackbird, beaucoup de ses colères couchent assez avec Paul. Quand les Beatles à 20h00 ont la poche, veille sur nous une discordante transformation. J’étais grunge dans l’autobus, trop sensorielle avec ses trois images. Évidemment, hey, de la ville venait la soif, un hors-d’oeuvre cheap sans travailler: il y a des vidanges!

Plutôt gênant, j’ai trouvé comment ouèrer les immigrants, j’ai tout appris. Étonnamment, à 7h30, Punta était solide: « Je vous présente Boomer. Acclamations des Plaines aux beaux emmerdés de Beatles supposés bio. Ouèreux! Nic n’est pas les Plaines. »

Kilomètres saisonniers, après cinq j‘en fait un dépotoir. Beaucoup, de bon matin, la torchent pour que tu puisses ouèrer et prendre un goût de garbage. Parce qu’après Jude, elle était la meilleure idée: une armée de boomers. C’était les espagnols sur mer (Wings!) avec du son à gilet minimum.

Une Plaine se doit donc ses nananana drôles et son show. Celle à Popaul est retournée vers la marde d’alcolo. Tout entouré de marde-soif, c’est autour de 1965 que le mauvais se ramassait derrière. À toutes, il a proposé le quart des phrases, et non la musique-salaire de McCartney.

Je regardais Canâ d’un air qui fitait. Paul fredonnait, son écran était frustré et les mexicains carrés tonitruants aussi. Ailleurs, une voix d’angels essayait de composer l’heure. La preuve, une personne bien laissait les époques prolétaires au passé. Être un clavier (Wings!) reste encore, étonnamment, une expérience d’alpaca tiède.

3 commentaires:

Deluxe Lamalice a dit...

C'est beaucoup de drogue pour une seule personne!

Aubry a dit...

Quand le hasard s'exprime... C'est incohérent dans l'ensemble, mais j'aime bien quelques unes des phrases, comme "Ouèreux! Nic n'est pas les Plaines" et celle sur les espagnols.

Je me demande encore comment produire un texte ordonné à partir d'une recombinaison de l'original.

Mélo a dit...

mais pourquoi se pourquoi t-il ? ça s'pourrait-tu qu'il se parce-que ?