mardi 18 mars 2008

Longue absence, nombreuses turpitudes

D’abord, merci à M. Rappaz de me sortir de ma torpeur, en faisant frémir la fibre de culpabilité judéo-chrétienne bien ancrée profondément dans mon moi-même manifestement pas si accomodé-raisonnablement. En tout cas, pas tant que ça. Toujours est-il que La tête dans l’autruche est back en black.

Qu’ai-je fait pendant mon absence bloguorifique? D’abord, j’ai effacé mes photos de mon compte Facebook, question qu’elles ne se retrouvent pas en Une de tous les journaux de la planète si je viens à être impliqué dans un scandale de prostitution avec un gouverneur de l’État de New York. Dans les dents, Facebook. Suivant les conseils précieux de la ville de Mourial, j’ai rebaptisé un Métro; je l’ai appelé IGA, mais j’ai conservé son slogan poche « Profession : épicier ». D’abord, ce n’est pas une profession, c’est à peine un métier. Ensuite, la section épices est vraiment dérisoire comparativement à la section magazine avec la face de Marie-Mai.

Autrement, j’ai tenté encore une fois d’envahir la Pologne. Toutefois, n’ayant pas écouté suffisamment de Wagner dans les derniers mois, j’ai échoué. Il faut dire que je n’avais pas une attitude de vainqueur dès le départ, étant un peu éprouvé par mon éventuel statut de sloppy second.

Je me suis plains de l’hiver trois fois depuis la dernière entrée de ce blog. Je me suis ensuite fait pousser des raquettes, ce que je tenterai de transformer en palmes une fois l’été arrivée.

Sinon, vous, ça va bien?

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