vendredi 6 juin 2008

Einstein Jr.

"Difficile, donc, d’évaluer la prévalence de la nécrophilie dans la population, note M. Couture. D’autant plus que les victimes sont sans voix."

Tout un expert.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Marcel Couture pense que les annales judiciaires québécoises ne contiennent pas ou très peu de traces de nécrophilie. «Ça ne court pas les rues.»

Et j'ajouterait : leurs victimes encore moins.