Stephen Harper affirme qu'il faut changer la culture qui accepte trop facilement, depuis les années 60, la consommation de drogue. Il dit ne pas être lui-même sans reproches, racontant, presque sur un ton de confession, qu'il permet à son jeune fils d'écouter ses disques des Beatles.
Le premier ministre dit que son fils lui demande ce que les paroles de ces chansons signifient. Tout de même, il assure qu'il aime cette musique et qu'il ne va pas cacher ses disques.
jeudi 4 octobre 2007
Ça s'invente pas...
Tiré d'un article de Cyberpresse. C'est probablement la déclaration la plus cool que Harper pouvait faire... Ok, il écoute les Beatles, mais il n'a pas inhalé.
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